Maïssa BEY : Puisque mon cœur est mort (éd. l’Aube), 2010. L’architecture du roman, élaborée à la manière d’une correspondance épistolaire, décrit en cinquante chapitres le destin brisé d’Aïda, Algérienne de quarante-huit ans, divorcée, racontant sa vie qui vient de basculer dans le vide après l’assassinat de son fils Nadir. Cette femme brisée, pour ne pas perdre la raison, écrit dans des cahiers d’écolier. Un roman plein de douleur, irrigué de poésie qui aborde des thèmes inhérents à la vie sociale, économique et politique de l’Algérie. Prix Orange 2010.
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