Encore le Hirak, 22 octobre 2021, Maison des diversités, Toulouse

Nos « amis d’Averroes », dans leur cycle d’automne, ont présenté Hakim Addad dans une réunion dont nous sommes heureux de garder la trace, grâce à Bernard Bessac, qui y a asssisté et y a pris des notes:

« Je suis allé écouter Hakim Addad lors de son intervention.

Hakim Addad a parlé environs une heure et demi, enchaînant passé, présent et perspectives.

Il démarre sur l’idée que l’ »on peut parler du Hirak et non pas au nom du Hirak ». 132 ans de colonisation suivis (à une brève exception près) de 60 ans d’un régime oligarchique qu’il qualifie de politico-militaro-mafieux.

Des millions de personnes se sont retrouvées dans les rues (surtout au début de Hirak) qui a cessé avec la survenue de l’épidémie covid-19. Cela a impliqué toute la société algérienne: les femmes, les hommes, des croyant-e-s, des athées, des jeunes ….

Le Hirak a décidé de mettre un terme (provisoire ?) à ces manifestations, covid-19 oblige. Mais un travail discret, souterrain s’est mis en route.

Enfin, Hakim Addad (cela fait débat au sein du Hirak) estime qu’il faudrait que ce mouvement se structure pour perdurer et avoir une certaine efficacité.

Bernard Bessac co-correspondant de la 4ACG en Occitanie.

 

Et puis Annelise Verdier, qui elle aussi a participé à la réunion, nous a envoyé ses notes que nous publions ci-dessous: